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Michel CHAVET expert forestier

L'Expertise

  • ÉVALUATION de forêts dans le cadre d’un achat, d’une vente, d’un échange, d’un démembrement de propriété (usufruit et nue-propriété), d’une donation, d’une succession et de l’établissement d’une valeur IFI.

    ESTIMATION d’arbres de parc ou d’arbres donnant une valeur à une résidence.

    DÉTERMINATION de la rentabilité d’un patrimoine détenu ou à acquérir.

    AUDIT confidentiel de gestion et/ou d'expertise réalisée par des tiers.

Michel Chavet Gestion forestiere
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    Les expertises peuvent être réalisées de plusieurs façons qui dépendent de la rapidité à laquelle les résultats doivent être obtenus, du budget qui est alloué au travail à réaliser et de la difficulté à parcourir les parcelles à analyser.

     

  • Le Cabinet peut faire appel à des sapiteurs dans le cadre de dossiers où la technicité nécessaire sort du cadre forestier.

    Des collaborateurs externes, experimentés et confirmés, renforcent le Cabinet, permettant d’effectuer des inventaires de peuplements forestiers pied par pied ou sous forme statistique.

  • Le Cabinet effectue des expertises en FRANCE principalement, et a aussi l’occasion de travailler au LUXEMBOURG, en ALLEMAGNE, en ECOSSE et aux USA.

La Gestion

  • Le but de la gestion est d'agencer, sur le long terme, une forêt de façon à ce qu’elle réponde aux objectifs du propriétaire tout en restant dans le cadre de la loi forestière et sous contrainte d’une durabilité de production.

    La notion de durabilité de production veut à la fois tout dire et rien dire, car elle n’implique pas une notion de productivité. Une forêt de taillis peut être parfaitement gérée de façon durable sans pour autant fournir une grande valeur ajoutée à son propriétaire.
    De même, des peuplements forestiers peuvent être gérés durablement de façon énergique tandis que d’autres sont laissés pousser « à leur rythme » de façon durable aussi, mais ne produisant qu’une fraction du volume à l’hectare des premiers pour une même essence.

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    La gestion à long terme est un cadre de référence, mais ne peut être envisagée qu'à partir du fait que le long terme n'est qu'une succession de courts termes ou, au mieux, de moyens termes. Dans cette optique, la gestion consiste essentiellement à planifier sur le moyen terme les coupes de bois et, plus difficilement (sauf à court terme), les travaux à y réaliser afin d’avoir un cadre de référence.

    La planification si elle est nécessaire pour indiquer une trajectoire, tombe très vite en désuétude. En effet, au bout de deux ou trois ans les plans de gestion prévisionnels n’étant plus adaptés, notament pour des forêts hétérogènes, il faut donc, dans le cadre d’une adaptation tactique, être réactif en fonction de ce qu’attend le propriétaire qui a affaire à ses propres priorités pouvant changer dans le temps, de l’évolution du marché des bois, des effets météorologiques négatifs ainsi d’ailleurs que des attaques aléatoires d'insectes et de champignons.

    La gestion à court terme est opérationnelle par nature. Elle consiste à lancer des interventions techniques et à veiller à leur exécution tout en adaptant les modalités d’application. Elle consiste à faire face aux imprévus et nécessite une grande disponibilité. La gestion technique consiste à mettre en oeuvre les plans de gestion prévisionnels en organisant sur le terrain des coupes de bois, des reboisements, des régénérations naturelles. Elle consiste aussi à créer des routes forestières, à établir des baux de chasse et à maintenir de bonne relation avec les voisins de la forêt. Par ailleurs, la gestion opérationnelle nécessite une certaine ténacité de la part de ceux qui sont en charge car les très jeunes peuplements ont besoin d’une assistance récurrente pendant de nombreuses années d’autant que les aléas physiques nécessitent une grande réactivité.

    Le marquage des coupes est une opération fastidieuse, mais qui est absolument nécessaire pour structurer la production d’une forêt. Au bout de cinq à dix ans le résultat de ce travail besogneux se manifeste par la création d’une forêt de belle tenue avec un potentiel qui a été préservé ou augmenté au fil des opérations de martelage.

    Les plantations ou les régénérations sont une étape indispensable pour activer la capacité de renouvellement de la forêt pour introduire les classes d’âge manquantes à mesure que les peuplements adultes vieillissent ou pour remplacer des peuplements de faible potentiel par d’autres plus productifs. Il est bien évident que si un propriétaire n'est pas en mesure de suivre l’entretien de ses plantations ou de ses régénérations pour des questions d’ordre psychologique ou tout simplement d’ordre financier, il est préférable de lui conseiller de planter moins ou de régénérer moins, mais d’entretenir ce qu’il aura enclenché.
    Il ne sert à rien, en effet, de conseiller à un propriétaire de faire de grands boisements ou reboisements si celui-ci n’est pas à même de les mener à bien malgré les conseils qui lui seront prodigués. Le rôle du gestionnaire est aussi de ressentir si son propriétaire est à même d’assumer la responsabilité qu’il aura prise en entrant dans ce cycle, quel que peu ingrat mais créatif, de production.

    La gestion pourra aussi s’appliquer à la recherche de subventions publiques, notamment pour aider au renouvellement des peuplements forestiers soit sous forme de régénération soit sous forme de plantation.

    En même temps, elle pourra rechercher à améliorer la desserte de la forêt par le biais de subventions pour que les bois puissent être enlevés par des camions spécialisés dont on rappelle que maintenant le tonnage autorisé a augmenté, ce qui nécessite dans certains cas des mises à gabarit importantes.

    L’existence d’un réseau routier empierré, outre qu’il facilite la gestion et la surveillance de la forêt, permet d’obtenir un meilleur prix pour les bois, non seulement en réduisant les coûts d’exploitation, mais surtout en attisant la concurrence entre acheteurs qui peuvent rapidement visiter les coupes de bois qui leur sont proposées.

    La gestion comprend aussi la location du droit de chasse si le propriétaire n’est pas lui-même chasseur dans sa forêt.

    Dans le cas d’acquisition de forêt au LUXEMBOURG, en ALLEMAGNE, en ECOSSE et aux USA, la gestion sera sous traitée auprès de forestiers locaux partenaires du Cabinet Michel CHAVET.

L' Achat
&
la vente
de forêts

  • Le Cabinet Michel CHAVET offre une prestation d’étude de forêts dans une cadre d'une vente ou d'une acquisition, afin d'accompagner le propriétaire ou l'acquéreur.
    Parallèlement, le Cabinet est habilité à vendre des forêts à des candidats acquéreurs.

    D’une façon générale, le but recherché est de faire en sorte que candidat acquéreur ou vendeur achète ou vende des forêts sur la base d’une valeur marché.

  • En principe, la valeur d’une forêt dépend essentiellement de la valeur du bois qui croît dessus avec bien entendu une valeur pour le sol forestier et le droit de chasse. Toutefois, pendant certaines périodes la valeur d’une forêt dépasse très largement la valeur des éléments indiqués précédemment, cependant que dans d’autres périodes, notamment lorsque les forêts sont moins demandées, la valeur d’une forêt peut-être inférieure à la valeur des sous-jacents (bois sur pied, sol forestier, capital cynégétique).

    Il convient dans ces conditions de bien analyser les phénomènes de marché qui font évoluer les valeurs en plus ou en moins par rapport à la partie strictement dérivée de la valeur des bois et de la chasse.

La Formation

  • Le Cabinet Michel CHAVET est à même de faire trois types de formation pour les personnes intéressées, portant sur les sujets suivants :

  • Comment choisir un investissement de type forestier lorsque l’on a plusieurs possibilités soit d’acquisition soit de gestion,

  • Comment calculer la rentabilité de variantes de méthodes de reboisement ou de régénération naturelle.

  • Comment choisir parmi plusieurs projets ou variantes de projets les plus favorables sachant qu'ils peuvent être indépendants, dépendants, incompatibles et/ou sans contrainte budgétaire.

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